Histoire II

J'ouvre les yeux, tourne la tête : 6h40. Mon réveil régler comme tous les matins me réveille à l'heure qu'il faut. L'heure de se lever et de se préparer en vue des cours, je m'assoie sur mon lit, mes mains sur mon visage pour me débarrasser des restes de a nuit que j'ai passé aux pays des songes, je lève la tête et regarde le jeune homme que je voit dans le miroir : 1m85, 68 kg des muscles fin et long pour une musculature peut marquée, on pourrais presque me qualifier de maigrichons. Des cheveux Brun/noir en bataille s'arrêtant avant le bout du nez et bouclant vers la fin des pointes; des yeux bleu clair comme le ciel d'été quand je suis à la lumière et un bleu d'un mer agité quand le soleil se fait désirer. 17 ans... depuis 3mois et quelques jours, 17 ans depuis le 8 mars, nous somme le 27 mai, de l'année 2023. Une bonne année quand ont y repense, toutes les année semble meilleur que celle de 2018 l'année ou ont à échapper de justesse à une troisième guerre mondiale, le terrorisme battais sont plein et menaçais tous les pays mais ceci n'est plus actualité pas la peine de me brouiller les idées des le matin. Je me lève doucement et regarde le réveil : 6h57, il faut que je me presse un peut, il me reste du temps mais tous de même, j'ouvre la fenêtre et y respire un bon coup d'air fraie avant de refermé vivement.


Je suis rester la tête dehors quelque seconde et j'ai déjà des flocons dans les cheveux. Je secoue la broussaille qui me sert de cheveux et je retire mon T-shirt avant de me diriger vers ma douche qui est dans la minuscule pièces à coter de ma commode, j'enclenche la porte quand j'entends derrière moi ma porte qui s'ouvre :

-Allez debout la dedans, ce n'est plus ... Oh... Pardon

CLAC! j'ai jamais compris pourquoi c'était la seule surveillante qui réveillais la parti des garçons. Sa ne doit pas être le premier garçon qu'elle voit en boxer, pas la peine de rougir, je continue de rire quand je rentre dans ma douche. L'eau chaude me revigore pour la journée que je vais subir, le lycée... ma classe, rien que d'y penser la rage me gagne,des adolescents puéril, immature et arrogant. Le genre de personnes qui ne vienne pas à la soirée d'un de leur ami s'il ne sont pas sur de pouvoir ce détruire au minimum un rein, c'est le genre de personne qui pullulent dans ma classe. J'essuie mon corp mouiller, enfile un nouveau boxer et passe un jeans propre pour enfin retourner dans ma chambre.

-Tu en met un de ces temps !
-Plus de temps que moi et encore... je suis une fille !
-Vous ne savez plus frappez a une porte ?
-Rhooo, Victor ont à frapper mais sous la douche tu ne répond pas souvent...
-C'est vrai ! et qu'a tu fait à notre chère surveillante Nina ?

7h23 je ne suis pas rester si longtemps... Le garçon, Michael est se qui ressemble de près ou de loin à mon meilleur ami car tous simplement c'est se qu'il ai. Toujours souriant, un peut moin grand que moi et un vrai don pour les blagues qui lui attirent la sympathie et même plus de la plupart des filles. La fille quant à elle... Audrey, une fille charmante et intelligente, châtain au yeux vert.

Pfff comme je les envie...

-Oui que lui as tu fait elle a fuit ta chambre en état de choque elle étais devenu blanche comme un linge!
-Ah, sa... Elle est rentrer pour me réveillé et j'étais en boxer.
- Ouuuuh le piti Vicky il a une chance avec la surveillante, hey me regarde pas comme sa ! elle a trois ans de plus que nous et ne réagit comme sa qu'avec toi !

Cette idée me fait rire et afin de me changer de changer de conversation, enfin bref je lance une taie d'oreiller qui me passe sous la main et la lance, reçu en pleine tête de se pauvre Mika. Nous rions avant que Nina vienne nous dire de se calmer mais, en me voyant elle deviens blanche comme neige et sort précipitamment, ont se regarde 2/3 secondes entre amis avant d'éclater de rire.

7h50 Le moment ou nous devons descendre, encore prit d'éclat de rire nous nous dirigeons vers la salle de chimie, Mika décida de couper le silence en parlant cinéma, tr-s peut de film que je n'avais pas déjà vu et donc je ne m'intéressa que très peut à la conversation. Je préfère écouter les discussions alentour pour y intercepter... des résultats de match, des '' exploits '' de garçon lors de soirer où la moitié d'entre eux ne doivent même plus avoir de souvenir claire; les filles elles parlent vêtements, maquillage et garçons en gloussant bêtement. Une d'elle se retourne avant que nous arrivions et vint nous saluer poliment, une des seuls d'assez polie pour le faire par ailleurs...

-Salut ! Vous savez la dernière ? Nous dit elle avec impatience, lui fesant comprendre que non elle renchaina.
-Une nouvelle, ont en sait pas plus sauf qu'elle est transféré de nul part...

Nul par ? Des cours à domicile ? C'est plutôt rare...La jeune fille du percevoir mon intérêt car elle ria et me lança :

-Tien tien, intéressée Victor ?
-Tssss... Victor tu as déjà... Marie l'a tu déjà vu ?

Mike se tut au premier regard qu'on échangea, il as comprit c'est déjà ça. Notre commère de service, comme vous l'aurez comprit qui s'appelle Marie se tourna vers Mike rougit en répondant doucement :

-Non je l'ai pas encore vu elle est dans la salle avec la prof, Alors Victor ?
-Intéressée ? Mmhh possible de toute façon je suis le seul à avoir une paillasse à moi donc je vais l'avoir avec moi en chimie.

J'avais presque l'air calme et serein quand Audrey me tapa l'épaule se qui me fit sursauté.

-Détends toi monsieur le chanceux, elle va pas te manger !
-Et si elle est jolie pourquoi pas ?
-Mike !
-Mike tu veut rendre jalouse Audrey ?

Mike me sourit et pris Audrey dans ses bras et rapprocha dangereusement sa tête de l'intéresser, elle le repoussa d'un coup d'épaule et se faufila dans la porte de cour qui venais de s'entrouvrir, Mike et moi la suivîmes du regard attendîmes quelque instance avant qu'elle resurgisse m'attrapant par le bras en me murmurant :

-Vien la prof veut te voir pour la nouvelle, Tu ne devrais pas être déçu.

Ma curiosité piquer au Vif, j'entra dans la classe et ferma la porte dans mon dos, la porte étant au fond de la classe je n'entendit que de léger murmure à l'avant de la classe quand j'u fermé la porte les discussion cessèrent et la voix de Mme Blondel me parvint :

-Victor ? Vien nous voir devant s'il te plait.
-J'arrive

Comme si j'allait m"enfuir... enfin maintenant c'est trop tard, Je tourne à la première paillasse et me retrouve avec le souffle coupé, Magnifique... et ce serais un adjectif faible opur décrire l'ange qui se tien devant moi, brune, assez grande dans les 1m70 voir plus, tailler par les anges pour qualifier mon adjectif. Habillez simplement mais craquante... Victor ne rêve pas ! je ne voit pas ses yeux domage.

-Victor je te présenta ta nouvelle camarade de paillasse, elle s'appelle Emily, Je compte sur toi pour lui faire découvrir sont lycée et les alentour et aide la à se mettre à jour pour ses cours.
-Je vous remercie Mlle mais je peut me débrouiller... Elle avais une voix douce mais qui commandais le respect, je déglutit du mieu que je put et répondit :
-Si elle le désire je l'aiderais mais en attendant heureux de faire ta connaissance, j'espère que tu va te plaire ici, Je m'appelle Victor.
-Emily, Enchanté de te rencontrer.
-Puisque les présentations sont faites, Victor je compte sur toi va ouvrir à la classe et montre lui votre paillasse.

Je passa le reste de l'heure à la regarder et lui poser des questions quand la conversation le permettait, je n'apprit rien d'intérréssant; Elle habitait un petit manoir à quelques kilomètres en lisière de forêt, Avais une soeur de dix-neuf ans. Elle ne repondit pas à quelques questions et haussa les épaules pour d'autres. Je n'appris pas grand chose non plus avant la fin du cours me prenne au dépourvu. Je lui proposa de l'accompagner mais toujours sur la défensive elle refusa et parti... mais parti dans la mauvaise direction :

-Et dire que je lui ai proposer...

Je soupira et partie à sa poursuite, je marchais vite mais impossible de la rattraper, je ne la voyais même plus, la sonnerie ayant deja rententit les couloirs c'était vider et je n'entendais pas âmes qui vivent. A un coin d'un couloir elle me retrouva, je dit elle car sa main surgit au coin et me plaqua contre le mur :

-Victor ? Tu me suis ? Me dit elle doucement avec un regard colérique.
-Ouahh doucement, je te suis où plutôt je te rattrapais pour te dire que la salle c'est de l'autre côté, tu marches plus vite que je l'aurais cru et aussi plus forte.
-Ah... excuse moi, je ne voulais pas...

La porte à notre droite s'ouvrit et un prof en rogne en sorti :

C'est pas bientôt fini non ? Allez vous embrassez ailleur, allez zou !

Embrasser ? c'est vrai quand nous regardant bien ont pourrais y croire... Emily rougit et baissa les yeux. Je reprit avec un grand sourir.

-Ahah excusez nous, nous partons de suite... vien.

Je lui prit la main et tourna dans l'autre sens et pressa le pas. Arriver devant la salle, Je remarqua que je lui tenais toujours la main, je ma retira aussitôt en m'excusant.

-Ce n'est rien, merci de m'avoir aider, je veut Bien que tu continue à m'aider... Bonjours, excusez nous pour le retard je suis nouvelle et Victor m'a retrouvé et m'a aider.

... quelques coup de sifflet de garçon, un papotage entre fille et le profésseur de mathématique qui nous sourit; Voyant Emilie Hésiter quant à a démarche à suivre je l'emmena à ma table, non sans être suivit du regard de toutes la classe, la Journée va être dure... Et enfaîte non, le reste de la journée passa sans problème et Emile bien que timide commença à me parler et a me poser des question comme je l'avais fait ce matin. En bon gentleman je l’accompagna sur le parking de l'école ou elle se dirigea vers une belle moto qui paraissais neuve...

-... Elle est à toi ? elle est magnifique...
-Oui elle l'est mais elle appartiens à ma soeur. allez à plus.

Sur ce elle enfila son casque, me salua et partie.

Nuits de folie ?

Le lendemain, ce réveillé de bonne humeur fût chose aiser, allez en cours aussi, surtout quand on sait que je ne serais plus seul en cours à ma tale ce qui me réconfortais d'autant plus que ce soit Emily.

-Domage Victor, on dirait bien que ta protégé n'est pas là...

je me retourne et qui voit-je ? Marie, notre chère commère. Un Air fourbe et espiègle remplissais ses yeux châtains à moitié caché par sa coiffure. Je ne répondit rien et me replongea dans la musique sortant de mon casque, la journée commença et la S.V.T et les mathématiques furent un véritable enfers ! Et la classe agitez comme jamais eu le droit à un devoir maison surprise spécial pour le lundi qui suivais remplissant ainsi notre weekend... Et devinez ce que la classe entière à répondu à la simple question: " Qui rapporte le devoir maison à la nouvelle ? " Oui c'est bien moi, vous êtes fort dit donc. Bon dans un sens je suis le seul à savoir où elle habitait, je me leva aussitôt à la fin du cours et alla dans ma chambre.

15h50: cours fini depuis vingt minutes et je sortais déjà de l'établissement rollers aux pieds avec ma sacoche transportant les devoirs d'Emily et mes chaussures, sont manoir est à une petite distance du lycée mais je ne devais pas perdre mon temps...


16h35 : J'appercevais le manir et accéléra un peut, entourrer de forêt sur une route peut pratiquer je pourrais au moin rouler en sécurité...

Crac !

Je tourna aussitôt la tête vers ma droite.. soucrce du bruit, une fille debout sur une ranche à minimun quatre mêtre de hauteur; brune et grande, magnifiqe vu d'ici. Un bruit soud me tire de ce mirage, un camion qui arrivais à toute vitesse, juste le tep de me jetter dans le fossé pour le voir passé sans même ralentir. je me releva en fulminant légérement en s'entant du sang dégouliner sur mon bras sous mon t'shirt noir à manche longue, je m'étirra pour regarder l'étendu des domage, une douleur aux cotes en esperantque ce soit un ématome et non une fracture.

Crac !

-Mais qu'es que tu foutais sur cette branche ?

Je releva la tête et personne... Pas âme qui vive. un dernier coup d'oeil autou de moi et jeme remit péniblement en route en espérant qu je ne devienne pas fou.

Portail en fer ouvragé et ouvert... pas de sonnette ou de cloche pour prévenir mon arrivé, je retire mes roller en m'agenouillant en évitant d'y mettre du sang et j'enfila mes chaussures. l’allée entourer d'arbre et en terre battue ne portais guère à ma confiance et à bien y regarder l’allée est recouverte de traces de patte plutôt grande. Je m'agenouilla et regarda de plus prêt, des chiens... de gros chien... ça pourrais être dangereux, faut que j'en finisse. Je me relève et je prèce le pas, je monte les marches du perron et j'arrive devant la porte, j'y frappe en espérant que le maître des lieu ne lâche ses molosses sur moi, le stress ma fait frapper plus fort qu'un humble visiteur. L'attente d'une personne m'ouvrant cette porte à eu pour effet de me rappeler ce pourquoi je trouble la soirer de cette famille, la porte s'ouvre et avant que je ne me présente...

-Tien ! Bonsoir, Viens, entre.

La fille sur la branche, j'ai un choc , je suis bloquer sur l'entrer, et en réfléchissant elle ne pourrais pas m'avoir dépasser et avoir prit une douche comme semble indiquer son léger peignoir et c'est cheveux mouiller, je franchit donc le la porte tout en observant mon hôtesse, sans trop insister car si moi je la regardais du coin de l’œil, elle me relookais et tournais autour de moi avec un petit sourire espiègle. Je la suivit à travers un couloir d'entrer avec un escalier à ma gauche et une porte au bout que l'on pris pour ce retrouver dans un salon confortable avec plusieurs canapé à l'air neuf et moelleux, je ne put m’empêcher d'admirer.

- c'est une belle maison.

Ma phrase la fit rire...


- Oui mais pour le moment encore un peut petite pour le peut de gens qui ... y habitent.

toujours son petit sourire qui me nargue.

- Et sinon tu court vite non ? pour courir plus vite que moi quand je suis en roller faut y...
- Qu'es que tu aimes dans le roller ?


- tous

voyant son regard je continua

- Les sensation du vents sur mon visage, celle de glisser et de ne plus appartenir à mon corps et aux lois qui le régissent.

Son sourire s’effaça laissant place à de l’intérêt, elle semblait captiver, elle absorba chacun de mes mots, quand j’eus fini elle me conduisit aux canapés me fit asseoir avant de pencher sur moi pour me murmurer à l'oreille, ce qui me donna un frisson le long de l'échine ;

- Pas mal... mais tu peut connaître mieux, j’entends ma sœur... elle arrive je te laisse, dit moi ton nom.

ça ne ressemble pas à la question de politesse à la qu'elle vous êtes habituer mais plus à un ordre et je ne suis pas vraiment en position de le lui refuser.

- Victor
- Victor... ok à toute à l'heure.

Avant que je lui demande le sien elle ce faufila sans un bruit hors du salon, je viens de me souvenir comment respirer... elle avais mener la discussion du début à la fin et Emile ? je n'ai strictement rien entendu pourtant elle ouvre la porte quelques que secondes plu-tard.

- Victor ? désoler je ne t'avais pas entendu et ma soeur vien de me prévenir... Que fais tu là ?
- Excuse moi de te déranger si tard et en plus en venant chez toi mais je te rapporte un devoir important que nous avons à faire.

Silence gênant, Je la regarde furtivement, habillez d''une petite robe retenue par une ceinture avec un jeans assez serrez, j'ouvris la bouche pour en finir avec le froid qui me prend d’assaut mais elle me devance quelque peut.

- C'est très gentil de ta par mais sa me gêne que tu est du te déplacer jusque ici, je serais revenu demain. Et excuse ma soeur elle est un peut sauvage... Tu ferais bien de partir maintenant.

OK... vous le prendriez comment vous ? Merci mais dégage ? oui c'est un peux l’effet qu'elle me procure en cette instant. j'aquiessa donc un peut vexée, et parti en direction de la porte d'entrée, je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir qu'elle étais sur mes talons.

- Aurevoir Victor.

elle me claque la porte dans le dos. sympa... Aurevoir aussi tien, je ramassa mes rollers et marcha rapidement vers le portail pour sortir d'ici et allez me détendre un peut sur la route.

à quelque mètre du portail j'entend un petit grondement camoufler, MERDE ! les chiens ! Je me retourne en un sursaut vers le bruit pour y voir quoi ? un loup... un gros chien ? je sais pas trop mais il est gros. Il approche la tête abaisser et la queue entre les jambes il a l'air d'avoir peur.

- Vien là, je ne vais pas te faire de mal.

Il étais suffisamment prêt pour que je puisse glisser une main sur sa mâchoire et passer mes doigt sous son oreille pour le caresser. Il avais l'air content, c'est un peut mieux. Il n'a pas l'air si terrifiant au final...

- Victor sort d'ici !

Qui revoilà donc ? Oui j'ai compris que tu voulais que je dégage ! je me retourne pour le lui dire en face mais mes mots reste bloquer dans ma George devant son expression. Les yeux grand ouvert, les jambes tremblantes, elle étais terroriser.

- Qu'es qu'il y'a Emilie ?

Le petit grondement derrière moi un instant et d'un petit jappement me mordit la main rester sur lui. Je retournais ma tête et je voyais en effet deux trou rouge sur ma main, bon ça picote un peut mais rien d'important...

- NON !
-Laisse Emilie ce n'est rie...

Je tombe à genoux sans même en prendre conscience, mon bras commençais à me brûler et ce fût de pire en pire, j'étais sur le bûcher en moins d'une minute, chaque fibre de mon corps brûlez et marquer au fer rouge. J'essais de respirer au milieux de la douleurs qui me paralyse. J'entend vaguement Emilie qui balbutie quelque chose :

- Anna !.... transf.... ta chambre !... papa... FURIEUX !

Anna ? je lève du mieux que je peux la tête vers le loup et je remarque enfin ses yeux, des yeux d'une intelligence folle, ce n'est pas un animal comme les autre... Je me crispe de nouveau sous la douleurs qui me cloue au sol, chose aussi improbable que tous ce qui ce passe je suis soulever du sol comme si j'étais qu'une brindille et il me semble voir Emilie... Je deviens dingue, et le pire c'est que je ne suis même pas allergique aux chiens, je suis allergique à rien par ailleurs.

Elle me transporte au pas de course dans la maison et prend des escalier, rentrer dans une chambre et me déposer sur un lit assez dure mais je ne m'en soucis guère vus l'état dans lequel je me trouve. J'essaie de regarder autour de moi et ne n’aperçoit que des mélange de couleurs mélanger à des odeurs qui passait devant mes yeux comme l'aurais fais des fantômes, transparent difforme et sans aucune logique. Une personne entra dans la pièce et je me mit aussitôt à distinguer des cri, deux filles, une d'elle claqua la porte en s'en allant.

Enfin le silence ce fît enfin si on s'éppare mes cri de douleurs et d'agonie à tous le reste, une main ce pose sur moi et j'ouvre les yeux par reflex, la soeur d'émilie enfin je croit... Qui sourit à pleine dents.

- Tu me remerciera plus tard, ça en vaut la peine...

Elle me posa ses lèvres fraîche sur la joue, seul touche agréable parmi l'enfer que je subit. Elle partie juste après, j'aurais aimer la retenir, j'aurais aimer ne serais-ce que bouger un petit doigts enfaîte... La douleurs me reprit d'assaut et je sombra petit à petit dans un coma douloureux et remplit de cauchemars plus horrible les un que les autres, Je vais devenir fou...

Cette Anna est absolument géniale *.*
Mis à part ça l'histoire est très bien (trop bien même, si tu ne fais pas une suite c'est criminel et je te traine en justice !)mais j'avoue que que je ne m'attendais pas à avoir une suite aussi entrainante tout de suite (ce qui est loin d'être un mal ^^). Par contre mon seul problème qui n'en est peut-être un que pour moi (bah oui, chieuse comme je suis hein --") c'est que parfois certains temps sont mal utilisés, ce que je trouve dommage pour l'histoire, mais ce n'est jamais qu'un détail et vu que je suis une ennuyante de première, je me tais.
Enfin quoi qu'il en soit l'histoire est super et j'attends impatiemment la suite ! ^^

J'ai du franchir le seuil de la douleurs car je la sent toujours, mais elle c'est reculer dans un coin de mon cerveau qui ne m’intéresse pas. Comment peut ont, à peine mordu ? être dans un tel état, c'est pitoyable et grotesque, je ne suis pourtant pas allergique n'y au chiens ni... bon je vous l'accorde à peut de chose enfaîte. Je ne savais pas qu'un chien pouvais être venimeux... j'ai mes vaccin tous à jours.

Le fil de mes penser ce perd ainsi dans des possibilité les plus grotesque les une que les autres, par contre la bonne nouvelle dans cette torture insséssante c'est que le sang dans mes oreilles ne tambourine plus, Ce qui me laisse entendre les bruits alentour et surtous la discussion coléreuse devant la chambre :

- Tu te moques de moi la ? Non je ne m'en occuperais pas ! tu va le faire, tu va rester avec lui et subir sa colère si c'est ce que tu mérites.

-Cela tombe bien ! car d'après nos règles il est à moi ! J'irais chercher de la nourriture s'il ce réveil !

Minute papillon... Il parle de moi la ? depuis quand je suis la propriété de quelqu'un ? Désoler mais c'est pas mon genre de fantasme ! Je l'entend claquer la porte et la verrouiller derrière elle, avant qu'elle ne s'approche vers moi et ce pose assis dans le lit en me touchant le front du dos de sa main :

- Sa va ?

Euuuh... Laisse moi réfléchir... NON !

- Ne bouge pas je revien.

Mais oui bien sur ne t'inquiète pas je ne risque pas de bouger, quoi que sauter par la fenêtre me parais très attrayant maintenant qu'elle le dit. Elle par dans une pièce lié à la chambre et j'entend l'eau qui ce met a couler. Elle revint avec une serviette et un gant de toilette, ce dernier qu'elle pose sur mon front est fraie et me fait du bien, délicate attention non ? J'aurais aimer dire "je me laissa retirer mon t'shirt" Mais enfaîte je n'ai pas le choix ! comme je disais donc elle me retire mon t'shirt remplit de sueur et passe une serviette qui sent la lavande sur mon torse... La lavande ? Ahhh bonne nouvelle mon odorat remarche ! Mais je ne peux toujours pas bouger un seul doigts ni ouvrir la bouche, ce qui est potentiellement problématique.

Je retourne néanmoins à mon infirmières, bah quoi ? pour une fois que j'en ai une jolie. Elle semble exténuer et fatiguer aussi, elle pose la serviette sur mon abdomen et pose sa tête dessus et la c'est à mourir de rire... attention elle s'endors ! Oui oui quasiment aussitôt, quoi qu'elle est très belle aussi quand elle dors, j'aurais énormément appréciez ce moment si je n'étais pas en enfer...

La douleurs fini par disparaître en me laissant fatiguer, courbaturer et comateux, si elle me laisse une seconde ou deux je m'endors avant d'être réveiller par des sursaut de douleurs ou des cauchemars atroce, Bref !! Bilan ? NUIT HORRIBLE ! Tard dans la nuit un sommeil doux et profond viens me cueillir et m’emmène doucement vers les étoile, fini plus de douleurs.

Maison de fou ?

à venir

Maison de fou ?

-Bien le bonjours !

j'ouvris les yeux doucement et surtout avec difficulté, je ne réussi cependant qu'a émettre un grognement et au moment même ou le l'émit elle sauta de joie et parti en courant hors de la pièce et revint quelque minutes plus tard avec un plateau remplit de ... bacon ? Oui de bacon ! faut dire ça sent si bon que je pourrais le sentir à des kilomètre !

-comment te sens tu ?

elle sauta sur le lit en riant, ce qui bien sur m'arracha un trésaillement de doulers, elle l'ignora. Fatiguer par la douleurs et la merveilleuse nuit que j'ai passer je ne reussi qu'a articuler un pauvre :

-Bof
-c'est toujours mieux que d'être mort je suppose.
-hein ?
- je te raconterais sa plus tard, Mange d'abord.

Mon ventre fit un bruit du tonnerre en parlant de manger, je mourrais de faim en gros ! Je voulu m’asseoir mais un cliquetis léger attira mon regard...menotter ! La situation comique qui un jours avec un fille comme sa aurais pu me plaire me faisais pas du tous rire, je me mit à la regarder d'un oeil mauvais en tirais sur mes liens.

-Mais qu'es qu...
-Oh pardon, question de sécurité, tu comprendra.

ça commence a m’énerver un poils y'a trop de trucs à comprendre trop d'ombre et de voila qui ne sont pas soulever ! Elle sorti la clef d'un collier qui pendais à son cou et me détacha, je m'assis doucement en grimaçant. Elle avais l'air heureuse et ça me fit presque sourire avant que je me rappelle la nuit que je venais de passer et le fait que je l'avais passé attacher.

-Arrête de penser et mange !

j'aurais voulu répliquer mais mon corps obéit de lui même, j'enfournais tranche sur tranche ce qui me fit oublier ce petit phénomène de toute manière ça devais être mon corps qui de lui même à répondu à mon estomac. De nature je lui tend le plat après que mon envie de manger ce sois un peut calmer.

-Tu devrais manger, c'est pour toi et sa te redonnera des forces.
-Mange.

Bon je suis peut être présomptueux de lui donnée un ordre comme sa mais mon geste la surpris et lui fit plaisir apparament, elle m’écoutas et manga avec moi ce qui restais.

Je décide sur le moment de ne pas poser de question et de manger tranquillement en regardant ma... mon hôtesse ? ma gardienne ? bref ! elle est grande, musclé mais reste assez fini pour qu'elle ai une taille de mannequin. Les cheveux noire comme sa soeur, un visage plus fin, des pommette légère et des yeux qui me donne des frisson, ils sont remplit de sauvagerie. D'un iris vert comme les conifères en hivers il sont parsemer de tache jaune/or, qui leurs donnent une particularité... Si je vois si bien ses yeux c'est que je n'ai même pas regarder nous nous regardons dans les yeux depuis presque cinq minutes. Je sens mes joues s'empourprer et je détourne la tête en essayant de dire :

-je suis dé...désoler.

Elle ce pencha vers moi en souriant pour m'embrasser sur la joue... je pense que ça ne l'a pas déranger, pas du tous. elle me regarde et me dit qu'elle reviens que je ne dois pas bouger d'ici. Avant que je lui demande pourquoi je dit oui. comme bloquer je la regarde partir et je reste à ma place, je dois rester à ma place... qu'es que je dit ?! j'essais de retirer mes jambes du lit et en criant de douleur, j'abandonne aussitôt et écouta quelqu'un monter un escalier approchez de la porte.

-Je peut entrer Victor ?

Je ne répond même pas, bizarrement j'étais énerver tous d'un coup et je savais qui étais derrière la porte... Emily. Elle rentra sans mon accord ce qui m’exaspéra d'autant plus et elle approcha de moi et resta à une bonne distance... avais t'elle senti la haine qui émanais de moi ?

-Ca va Victor ?

Voyant que je ne répondais pas elle continua l'air blesser et triste.

-Tu viendra me voir des que ma soeur l'aura permis.
-Je ne te le permettrai pas avant un moment Sort d'ici Emi !

Mon regard concentrer sur Emily m'avais empêcher de voir Anna sur la pas de la porte le regard mauvais tenant la porte pour que sa soeur, Emily sorti doucement en jetant un regard triste dans ma direction, et elle disparu dans le couloirs. Anna ferma la porte et reporta son attention sur moi. Je me mit aussitôt à sourire et mon esprit ce demande pourquoi j'ai réagit comme ça... mon corps ne me répond plus comme avant et cela m’énerve. Mais tant Qu'Anna souriais je continuais de sourire et le verrou mental que j'avais m’obligea à faire de même.

-Que voulais t'elle ?
-Je sais pas elle venais voir comment j'allais je suppose... je lui ai pas réellement laisser passer parler. Pourquoi ?
-tu comprendra, je t'expliquerais le moment venu.
- alors pourquoi t'irais t'elle une tête d'enterrement ?
- elle n’apprécie pas ce que je t'ai fais...
- Bah en même temps c'est vrai que de m'attacher dois être mal vu !

elle rit et me mit une pichenette sur le nez avant de reprendre son sérieux.

-Mais non de ta mutation de cette nuit et la cause de cette mutation.
-Mutation ? moi qui aimais bien les X-men Me voila quelque peut déçu...
-Tu es devenu un loup-farou.
-à dieu les X-men quoi...

De l'humour ! c'est tous ce que je trouve alors que mon cerveau bat plus fort que mon coeur a mes tempe ! un loup garou et puis quoi encore...

-Tu te moque de moi hein ?
- Non, je t'ai mordu moi même et maintenant tu deviens comme moi.

Que voulez vous... ont ne change pas le monde en si peut de temps... y croiriez vous ? moi en temps normal non, je lui aurais même ris au nez mais la j'ai comme un doute... Mes sens affûté et mon état, sans parler des modification apporté à mon physique, étrange, tous est étrange et surtout elle ! donc bon...

-explique moi.
-Pourquoi j'ai fais sa ?
-non, ce que ça implique, le pourquoi je ne veux pas l'entendre.

Elle parti dans un monologue plutôt morose sur comment être un loup-garou, quelque règle de survie élémentaire que je devrais suivre passé le pas de cette chambre en ce qui concerne la meute, mon comportement en ville et dans mon lycée.

-Je ferais attention les nuits de pleine lune à l'internat et puis voila problème régler.

même en disant ça d'un air grognon je ne parût pas convainquant, elle baissa les yeux avant de me répondre sur un ton coupable :

- c'est un peut plus compliquer que sa Victor...

Il manquais plus que ça ! j'ai rien demander à la base, je vais apporter charitablement les devoirs à sa soeur.Enfermer dans mes réflexion je failli ne pas entendre.

-Tu va devoir rester avec moi, et intégré mon lycée.
- Quoi ? ton lycée ? Comment ça ?
-Mon lycée, un lycée cacher aux yeux de tous dans les profondeur de la forêt, à la base des montagnes. Elle sert à habilité...les gens de notre espèce et bien d'autres dans le monde des humains.

Elle regardais droit devant elle le regard vide, mais même comme sa j'explose de rire ce qui me fait pleurer de douleurs mais s'en ai trop pour moi.

- Tu veux me faire croire que je suis devenu un loup-garou... passe avec cette nuit mais que je vais intégrer un lycée de monstre !

Mon rire resta bloquer dans ma gorge quand je vois sa mine... si triste et pourtant si furieux que mes cheveux ce dresse aussitôt dans ma nuque ajouter à un froid glacial qui me paralyse l'échine.

-Monstre ? c'est comme ça que tu me considère ? regarde toi dans une glace ! tu es dorénavant un ''MONSTRE'' comme ma famille et moi même !

Sur ses mot elle parti en trombe de la chambre et je me souvins enfin comment respirer et une vague de feu liquide parcouru chaque veine de mon corps. Quel Abruti je fais, elle l'a mériter non ? Je ne veux pas y croire mais je ne suis plus un enfant et je force mon cerveau à accepter la vérité... ma vie serais fini, du moins celle que je connaissais. Mes amis, mon lycées... j'ai même une pensée pour ma surveillante Nina... Ils me manqueront.

j'adore , comme toujours , peu être que pour moi ton personnage prend vraiment trop ça a la légère du genre " tu ma transformé *rire * d'accord " même si vers la fin sa s'améliore mais sinon j'adore et vivement la suite =]

À venir très bientôt, j'écris comme un fou depuis que je suis à l'hôpital. Hâte detre sorti !