Le pensionnat

Entrez dans le monde des rêves, mais évitez de faire trop de cauchemars... Entrez dans le jeu où tous les coups sont permis.
 
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 Dia J. Dawn, reine des Nighmares ♥

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Dia J. Dawn
Queen of Nightmares
Dia J. Dawn


Messages : 148
Date d'inscription : 25/01/2011
Age : 30
Localisation : Sans doute quelque part.

Dossier personnel
Orientation Sexuelle / Type: Du moment que ça sait obéir, le reste n'a aucune importance !
Clan: Nightmares
Pouvoirs: Le feu ♥

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MessageSujet: Dia J. Dawn, reine des Nighmares ♥    Dia J. Dawn, reine des Nighmares ♥  Icon_minitimeVen 28 Jan - 1:18

Votre personnage

Nom : Dawn
Prénom : Dia Jude
Âge : J’ai arrêté de compter après un certain bout de temps. Mais je dois en paraitre une vingtaine, peut-être moins ou alors plus.
Orientation sexuelle : Bah ? Ça te regarde peut-être ? Et puis de toute façon, je n’en sais rien. Moi du moment que ça obéit aux ordres, ça devrait aller.

Clan :
Nightmares
Quelles raison l'on poussées à choisir ce clan ? : Ce n’est pas comme si j’avais eu le choix…
Pouvoirs particuliers : Le feu et peut invoquer les animaux ayant un rapport quelconque avec son pouvoir.
Rôle dans le jeu : Reine

Description physique :
Tu te demandes ce qu’est cette chose là-bas dans le fond ? Premièrement ce n’est pas une chose et deuxièmement… c’est moi et je te conseille de courir loin pour avoir osé me désigner de cette façon !
Que vous dire de moi ? Je suis jolie, sans doute. Enfin, je pense. Je ne me souviens pas m’être un jour considérée comme étant quelqu’un de laid. Oui, donc je suis jolie… Non, en fait c’est très loin de la vérité, je suis belle ! Oui, oui, je sais, ce n’est pas la modestie qui m’étouffe, mais quand on est beau, autant le crier sur tous les toits plutôt que de le garder pour soi.

C’est peut-être dans ma façon d’être, dans mes gestes. J’ai de la noblesse dans ma façon d’être, et bien c’est logique, je suis d’une longue lignée de nobles… laquelle ? Je ne sais plus, mais sérieusement, on s’en fiche, non ? Quand je marche, c’est d’un pas assuré, regardant droit devant moi, je fais abstraction des choses qui m’entourent afin de me composer un masque de froideur pour visage.
J’ai une façon de regarder qui déstabilise, je vous fixe de mes deux grands yeux semblables à des rubis et vous sentez que vous pourriez vous perdre dedans. Quand je vous regarde, je le fais sans gêne, presque impoliment. Je peux avoir un regard tantôt aussi froid que la glace, tantôt rieur et moqueur. Un de mes yeux est souvent masqué par un nuage de boucles blondes. J’ai des cheveux assez longs et bouclés qui m’arrivent dans le creux des reins. J’ai aussi de jolies lèvres rouges qui font ressortir la pâleur de ma peau. Ça me donne souvent un air malade, voir légèrement fantomatique.

Quand je souris, c’est presque toujours pour vous sortir un sourire comme le Chat de Cheshire. Ça me donne un air sadique que j’affectionne tout particulièrement. Je peux souvent avoir l’air d’une folle, ou alors d’une gamine.
Ma peau blanche me donne parfois l’allure d’une poupée surtout avec les habits que je m’obstine à porter. Il est vrai que les anglaises, les chapeaux et les robes anciennes, ça a toujours donné ce côté légèrement flippant et figé de ces petites poupées de porcelaines que j’admirais tant quand j’étais petite. Je dois d’ailleurs avouer que je renforce ce côté avec délice.

Je porte systématiquement de longues robes avec volants. J’aime particulièrement les robes dans les teintes foncés, comme le bleu, le noir ou le rouge bordeaux, mais je peux porter du blanc, juste pour choquer les gens qui n’en ont pas l’habitude ou quand il fait trop chaud.
Qu’elle que soit ma tenue, je ne quitte jamais tout mon attirail, aussi maigre soit-il. J'ai toujours sur moi une ceinture à laquelle sont accrochés toutes sortes de poisons, ainsi qu'un poignard dans ma chaussure gauche et une autre lame camouflée sous ma blouse, sans oublier une épingle à cheveux dans le chapeau du jour. J’ai souvent un éventail avec moi et pour cause, de un, c’est pratique quand il faut chaud, de deux il est enduit de poison et aussi tranchant que la plus affutée des lames. Je dois d’ailleurs souvent faire attention à cela. Non pas que je puisse mourir en m’injectant ce poison. Après tout, il n’est pas mortel, vous finissez par vous réveiller au bout de quelques jours, mais c’est juste que lorsque je me coupe, ça fait des tâches et il n’y a rien de plus horrible à faire partir que les tâches de sang.


Description psychologique :
Energique et chipie, sournoise et adorable. C'est impossible de me détester à moins que je le cherche vraiment.

Hum ! Alors, psychologie de l’étrange énergumène que je suis... Euh…folle à lier. Et ce n'est pas une constatation mais une affirmation.
Je suis folle et sadique en fait et peut-être à tendances complètement suicidaires et mesquines. Par exemple, étant donné que je sais que les Dreamers ne peuvent pas me voir en peinture, je passe mon temps à les narguer juste pour m’amuser. Bon j’avoue que la dernière fois j’ai faillit y passer et que mes pions m’ont été très utiles, mais ce n’est qu’un détail !

La plupart du temps j’essaye de conserver un visage impassible, mais ça rate à chaque fois, à croire que je ne suis pas faite pour être sérieuse… Pourtant j’y arrive vous savez ! Mais seulement quand la situation l’exige. Les autres me reprochent ce manque de sérieux, ils me jugent comme étant frivole et stupide.
C’est pour ça que je finis toujours par gagner. A force de passer pour une crétine, plus personne ne vous prend au sérieux et ils ne savent plus quoi faire quand vous vous y mettez sérieusement. L’effet de surprise reste quand même l’un de mes meilleurs atouts.

J’ai souvent le comportement d’une gamine, je peux piquer une crise effroyable pour obtenir quelque chose, c’est d’ailleurs comme ça que le nouveau jeu à commencé, sur une simple envie qui a finie par se transformer en crise. Ça m’arrive assez souvent, mais par moments, je me montre froide et austère. Vous avez l'impression d'être dans le désert ? Venez me voir dans ces moments-là, vous vous retrouverez sur la calotte glaciaire en cinq secondes. Ça arrive lorsque je suis fortement contrariée. D’ailleurs, quand vous me trouvez trop calme par rapport à d’habitude, je vous conseille de fuir pour sauver votre peau. En général ce n’est que le calme qui précède la tempête.
Je suis comme ça. Sans foi ni loi, je vis à ma manière et tant puis pour ceux qui ne veulent pas me suivre. Si vous n’êtes pas d’accord, allez voir ailleurs si je n’y suis pas.

Je ne supporte pas l’échec et je suis fort susceptible. Je n’aime pas que l’on me traite sans respect et cela se sent. Seules quelques personnes peuvent se permettent ce genre de familiarités avec moi. Mais si un nouveau venu débarque et me dit « salut m’dame, je suppose que vous êtes la concierge », vous pouvez être sûrs que le petit tas de cendres devant l’entrée n’est pas dû à la poussière…
Je n’aime pas non plus qu’on discute mes ordres. Quand je dis quelque chose, c’est plus dans votre intérêt d’acquiescer que de discuter. Je ne suis pas du genre patiente, pas plus que je ne suis conciliante.

Je suis donc ainsi. Je vis à ma manière en suivant mes envies, me laissant emporter par mes émotions. On pourrait peut-être me comparer au ciel ou à la mer. Un instant je suis comme la mer, calme et silencieuse. Comment le vent, sans nuages et profitant d’un ciel bleu. Et l’instant suivant, je me déchaine, détruisant tout sur mon passage, grondant, menaçante comme les flots pour les navires, emportant tout sur mon passage, incontrôlable comme une tornade. Oui, je suis comme ça et rien n’y changera rien.
Un dernier conseil, si un jour vous me voyez, mieux vaut m’éviter et si l’envie vous prenait de jouer avec le feu, n’oubliez jamais… Même si vous lui faites confiance et que vous croyez la connaître, sachez que je vous mens constamment et que personne ne sait qui je suis réellement…

Votre histoire :

Je ne pense pas que ça soit dans mon intérêt de vous la raconter, après tout, je ne gagne rien en échange et vous avez tout à perdre. Certains l’ont entendue, mais ils ne sont plus de ce monde pour la raconter, je n’ai jamais aimé les oreilles indiscrètes, pas plus que les racontars. Enfin bon, si vous y tenez. Je présume que je dois commencer par le commencement ?

J’étais comme tout le monde vous savez, un bébé on ne peut plus normal, les joues roses, la peau douce, braillard,… enfin un bébé quoi. Puis le bébé est devenu une petite fille la tête pleine de poupées et de princesses, qui ne jurait que par ses peluches et les contes de fées. Après est venue l’adolescente, avec ses envies de découvrir, de voir le monde, l’envie de sortir du cocon familial devenu étouffant. Et puis pour finir, une jeune femme épanouie et heureuse de sa vie, bien à l’abri.

Mes parents étaient des personnes gentilles si mes souvenirs sont bons, parfois un peu trop protecteurs mais c’était normal. Parfois c’était lassant, on criait, on pleurait puis tout redevenait comme avant, comme si de rien n’était. J’ai vécu toute ma vie dans une famille qui avait les moyens, enfin c’est ce qu’on disait. Nous avions des domestiques, c’est peut-être de là que vient mon envie de tout contrôler, tout diriger. J’avais tout ce que je voulais, j’étais sans doute une enfant capricieuse mais joyeuse et gentille. On me qualifiait de mignonne à l’époque, aujourd’hui ils ont plus tendances à dire la folle ou le monstre.

C’est fou comme une vie peut changer avec un simple élément perturbateur. Je dois avouer que je n’ai jamais manqué de rien, ma vie pouvait sans doute être comparée à celle d’une princesse, surtout de l’extérieur. C’était le cas, mais plus une princesse captive qu’autre chose, j’étais une fille, j’étais censée rester sagement à la maison le temps qu’on me trouve un mari comme il fallait et la vie monotone qui va avec. Ce n’était pas pour moi. J’ai toujours vécu dans mon monde, un monde mignon où je me disais qu’un jour mon prince charmant viendrait. Pour moi l’amour, ce serait celui avec un grand A ou rien. Et en attendant de le trouver, je passais mes journées à jouer dans les bois du domaine, j’aimais bien la nature et là-bas, on me fichait la paix. Tout allait bien à cette époque-là.

J’ai vite déchanté en voyant celui que mes parents m’avaient choisi pour époux. Ce n’est pas que je ne l’aimais pas, il était gentil, peut-être un peu niais, mais très sympathique. Il était plutôt pas mal de sa personne, successeur d’une autre bonne famille, bref le parti idéal pour tout le monde. Tout le monde, sauf moi. A l’époque j’étais encore en pleine adolescence, je passais mes journées dans mes pensées, rêvant de toutes les merveilles que la vie me promettait. C’était un trait un peu trop courant chez moi à cette époque. J’aimais rêver, j’ai vite découvert que la réalité était moins belle que le rêve, de très loin.

Je ne voulais pas me marier moi, même pas majeure et déjà fiancée. Je sais que c’était comme ça, je n’étais pas censée avoir le choix. Je ne voulais pas, alors j’ai fait ce que je pensais être juste, je suis partie. Ça peut sans doute paraître vraiment futile comme raison mais à cette époque-là, je ne savais pas, pas encore. Alors je me suis enfuie par les bois, le long de la rivière, j’aimais bien cette rivière-la. J’ai fait un pas de trop sur le côté, j’ai glissé et je suis tombée. Je savais nager, mais je m’étais heurté la tête en tombant alors je mourrais à petit feu. C’est peut-être pour ça que je n’aime pas l’eau. C’est mon père qui m’a sauvé, enfin il parait. Je ne l’ai jamais su, il n’en est pas revenu. Jamais. Je ne comprenais pas, dans ma tête, j’étais encore une enfant. Quand on me disait qu’il était au ciel, je lui en voulant d’être parti là-bas sans moi. Ma mère l’a rejoint quelques semaines plus tard, ils ont dit que c’était de chagrin. Ils sont partis en me laissant derrière. Depuis, je ne veux plus m’approcher de l’eau. Parce que tout ça, c’est à cause de moi et d’elle.

Malgré cela, le mariage était toujours prévu. Il était gentil et compréhensif, triste pour moi. Je suis sûre que j’aurais pu être heureuse. Mais je ne voulais plus être heureuse. Alors je suis partie. J’ai trouvé un prospectus dans la rue. Un pensionnat, je pouvais bien y aller, ça ne couterait rien de voir.

L’homme qui nous accueilli était des plus sympathique, un peu trop charmeur pour être vrai, mais je m’en fichais. Je n’étais pas seule, nous étions plusieurs dizaines là-bas, tous cherchant à oublier temporairement notre vie. Seulement Julius, l’homme qui nous avait accueillis ne voulait pas nous laisser repartir. Nous avons été plusieurs à vouloir quitter le pensionnat et il est rentré dans l’établissement, ses futurs pions le suivant. Il est revenu le lendemain, il nous proposait de nous laisser partir si en échange nous parvenions à le battre. Un simple jeu, avec de simples pions.

Il s’est très vite avéré que j’étais la plus douée de tous en stratégie. C’est ainsi que commença la partie. Avançant tour à tour nos pions, nous menions un combat qui semblait ne jamais vouloir finir. Bien sûr, tout à une fin. Julius s’était vanté de n’avoir jamais perdu. Il y avait un début à tout. Un début qui s’appelait Dia. C’était le roi, et je l’ai achevé. Échec et mat. Avant de mourir, il a arboré un sourire à la fois sadique et reconnaissant. Les autres sont partis. Moi je n’ai pas pu. Quelque chose m’en empêchait. Une voix me souffla que le jeu devait continuer exister, ne jamais s’arrêter. Je n’ai jamais pu partir. J’ai essayé au début puis j’ai arrêté. Je me suis fait une raison et je n’ai plus jamais cherché à sortir. Ça aurait dû être facile, mais ça ne l’était pas. Alors j’ai commencé le jeu à mon tour et je continuerais jusqu’au jour où un fou plus fort que les autres viendra prendre ma place…

Vous


Votre prénom : Laura
Votre âge : 16 ans
Comment avez-vous connu le forum ? : Je l’ai créé
Combien de temps pouvez-vous consacrer au forum ? : Tous les jours, logiquement ^^
Votre niveau de rp (précisez juste si vous êtes plutôt débutant ou bien si vous avez l'habitude) : Euh, je dirais que j'ai l'habitude ^^
Code (il est caché dans l'histoire et dans le règlement) : Validé par moi ^^
Un p'tit mot pour la fin ? : Niark niark niark ♥
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